Selon une étude réalisée par l’Institut Sage, les réseaux sociaux, généralistes ou professionnels, tels que Facebook, Copains d’avant, LinkedIn ou Viadéo, sont sous-exploités par les PME françaises, malgré les opportunités qu’ils offrent en termes de promotion, communication et marketing. Illustration à Dijon.
En Côte d’or, 288 260 personnes, habitant dans l’agglomération de Dijon et les communes alentours, posséderaient un compte Facebook, premier site internet généraliste de réseautage social (source : publicité Facebook).
Le chiffre, qui peut paraître faramineux, voire presque irréel dans sa proportion, surtout lorsqu’on établit une comparaison avec le nombre total d’habitants comptabilisés dans la seule agglomération de Dijon (le Grand Dijon, 260 000 habitants !), reflète néanmoins les résultats observés au niveau national.
Selon une étude de l’IFOP publiée en 2009, 77% des internautes français déclarent être membres d’au moins un des réseaux sociaux les plus en vogue (Facebook, Copains d’avant, Twitter). Avec 15 millions d’inscriptions, c’est Facebook qui occupe, et de très loin, le haut du panier.
Si l’éventail des réseaux sociaux en ligne sur le web font un vrai tabac auprès des particuliers, ils sont largement sous-exploités par les professionnels (PME, commerçants…), malgré les opportunités qu’ils offrent en termes de promotion, communication et marketing.
Une étude menée en novembre 2009 par l’Institut Sage confirme ce déséquilibre :
Seulement 19% des chefs d’entreprise déclarent utiliser à des fins stratégiques un des réseaux sociaux en ligne sur internet, qu’ils soient généralistes (facebook ou Copains d’avant) ou professionnel (Viadéo ou LinkedIn).
Un des pardoxes du web.
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